Ever since the beginning of our Research Project,
we have been « sponsored » by many illustrious friends.
Alas, some of them passed away in recent years : Professor Paul Ricoeur, Cardinal Jean-Marie Lustiger, His Beatitude Christodoulos…
While they continue to intercede for us, it was time to ask new friends of The Bible in Its Traditions for their support.
With gratitude, we are honoured to be encouraged by :
Cardinal Philippe Barbarin, Primat des Gaules
![alt](/content/images/2014/Nov/barbarin-1.jpg « height= »100″ width= »300 »)
« Votre entreprise est d’une richesse incalculable.
La lecture de l’autre nourrit la mienne : ce qui m’intéresse, c’est que jamais je n’ai entendu le texte comme il le fait. – Cette parole qu’il me donne c’est le texte, mais c’est lui aussi qui est devenu parole ; la Parole lue par lui est d’une certaine manière devenue son corps et son sang et son commentaire, d’une certaine manière, fait un peu partie du texte tel que nous le lisons aujourd’hui !
Votre projet est gigantesque : courage ! Il est pour nous très, très enrichissant et prometteur. »
Cardinal Philippe Barbarin
Table Ronde « Lire la Bible et l’écrire » autour de La Bible en ses Traditions »
(Collège des Bernardins, Paris, juin 2012)
Professor James H. Charlesworth
Director and Editor, Princeton Dead Sea Scrolls Project
George L. Collord Professor of New Testament Language and Literature
Princeton Theological Seminary
» I agreed to serve on the Comité d’honneur for The Bible in Its Traditions Research Programme because it is based in the Ecole biblique de Jerusalem, one of the most respected biblical research centers in the world, and because the Programme has two foci. The first is the scientific study of the Bible and how diverse scrolls originated, were edited, and evolved into the canon. The second is the inclusion of the ways the symbolism, theology, expressions of suffering, and elevated hopes recorded in our Bible have shaped western culture in all facets including the arts, music, and cinema.
As we study the Bible of the People let us seek to perceive how we are also studying the People of the Bible and that now includes each of us today. »
J.H. Charlesworth, November 2014
Monsieur Pierre Assouline
A famous French author
and a member of the Académie Goncourt
« Gutenberg a fait de la Bible un livre. Avec le projet Bible en ses traditions, elle redevient une vision. Qui eût cru que, grâce à des technologies sophistiquées, sa dématérialisation allait la rendre à sa vocation première ? Elle existera comme jamais par sa transmission, le texte et sa réception à nouveau en osmose. À les observer tous travailler à leur grand oeuvre, se donnant trente ans pour son achèvement tout en sachant qu’elle sera par définition à jamais inachevée, on se laisse traverser par un sentiment d’un autre âge, comme si les bâtisseurs de cathédrales venaient de ressusciter devant nous, derrière leurs ordinateurs, et qu’ils construisaient quelque chose de plus grand qu’eux pour la seule gloire de Dieu. »
P. Assouline
Vie de Job, roman
(NRF, Paris : Gallimard, 2011, p. 195)
Monsieur le professeur Jean-Luc Marion, a philosopher of world renown,
de l’Académie française
» Il faudrait enfin avouer que la théologie, de toutes les écritures, cause sans doute le plus grand plaisir. Justement pas le plaisir du texte, mais le plaisir, -à moins qu’il ne s’agisse d’une joie- de le transgresser : des verba au Verbe, incessamment et en théologie seulement, puisque là seulement le Verbe trouve dans le texte rien moins qu’un corps. Le corps du texte n’appartient pas au texte, mais à Celui qui y prend corps. »
J.-L. Marion
Dieu sans l’être
(Paris : Presses Universitaires de France, 1991, p.9)
Monsieur Dominique Ponnau, historien de l’art et écrivain, Conservateur général du Patrimoine, directeur honoraire de l’École du Louvre (Paris)
Il est l’auteur, en particulier, du magnifique ouvrage : Figures de Dieu : la Bible dans l’art (Paris : Textuel, 1999).
« Peut-être une fraternité essentielle se révèle-t-elle ici […]. N’est-il pas beau que tous les hommes épris de vérité pérégrinent ensemble ? «
D. Ponnau
L’écarlate et la blancheur
(Paris : Salvator, 2011)
p. 154